~ Alice Black ~ [100 % ]

~ Black ~

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~ Alice ~

•• En Général

Age : 19 ans. Sexe : Féminin. Séxualité: Hétérosexuelle. Race : Kitsune. Groupe : Hybride docile. Comportement : Plus ou moins docile. Tendance plutôt serviable. © Images : Pamy

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•• Ce que je vois dans mon miroir

En 7 lignes minimum Que dire de l'apparence d'une kitsune au regard de braise ? Et bien, commençons dès le début. Sous forme humaine( en effet, elle ressemble d'avantage à une humaine qu'une kitsune), Alice mesure 162 centimètre de hauteur environ. Elle a le même poids qu'une plume. Non, je blague. Mais la kitsune ne pèse presque rien. Elle porte de longs (très longs même) cheveux roux flamboyants ainsi que deux iris pétillants de bonté et d'intelligence de la même couleur. Une taille fine, des courbes envoûtantes sans être trop entreprenantes et un corps souple et agile... Sa peau, laiteuse et douce, ne porte aucun défaut visible à l'oeil nu ( trouvez-moi quelqu'un qui a une peau sans aucune imperfection °^°). Son visage, tout en finesse et en grâce, présente des traits harmonieux et chaleureux. Des lèvres minces et brillantes, des pommettes hautes et rosées et un fin sourire joyeux. Deux oreilles chatoyantes, une queue touffue et rayonnante, un pelage soyeux... Et bien... Il n'y a pas grand chose à dire de plus... Hum... Alice est mignonne et rayonne, toujours souriante et chaleureuse. On dirait un ange.

•• Mon caractère

En 7 lignes minimum Je ne vais pas vous faire un portrait détaillé du profil psychologique d'Alice. Non, cela prendrait trop de temps. Je vais seulement commencer avec ceci : Tout le monde a un côté sombre, une facette noire. Et Alice ne fait pas exception à la règle. De nature, la kitsune se montrera enjouée, curieuse, voire enfantine. Elle sera naïve, émerveillée par le monde qui l'entoure et optimiste. Mais lorsque la tempête battra son plein, Alice se transformera en petit chaton apeuré. De même, si vous la mettez en colère, vous risquez de le regretter. Bien que difficile à fâcher, Alice, rarement en colère, déversera son lot de rage une fois celle-ci bien provoquée. Naturellement, la kitsune, à l'image de son animal fétiche, pourra se montrer rusée et intelligente. Créative, dévouée, énergique, elle sera une compagne de vie intéressante. Amicale, fidèle, attentionnée, Alice se dévouera avec passion à la cause de ceux qu'elle aimera. Le reste... C'est à vous de le découvrir ~

•• Ma vie

En 15 lignes minimum [...] L'homme lui rendit son sourire. Il lui avait demandé de parler d'elle. Décidément, il s'intéressait à son passé. Alice acquiesça à sa demande. Et, prenant une grande respiration, elle se lança.

"Je suis née d'une mère au regard toujours empli de tendresse. Elle était l'esclave d'un homme immonde. Mon père. Celui-ci la traitait comme une ordure. Parfois, elle venait me chercher en sanglotant, le corps couvert de plaies et blessures diverses. Maman me prenait alors dans ses bras et me serrait très fort avant de me pousser doucement mais avec presse vers le placard où nous rangions nos maigres possessions. « Mon ange, bouches-toi les oreilles et ne bouge pas de cette armoire. Maman va revenir te chercher. », me disait-elle chaque fois que mon père biologique avait un peu trop bu. Et elle tenait chaque fois sa promesse. Il n'y a qu'une seule fois où maman n'est pas revenu me chercher. Je me souviens être rester dans l'armoire quelques heures. Et quand enfin la porte de l'armoire s'ouvrit, un policier me dévisagea avec surprise. « Ho ! ... N'aies pas peur, ma petite. Chef ! On a trouvé la petite. », avait-il déclaré. On m'avait sortit de la maison. Je me souviens qu'il faisait noir à l'extérieur. Et froid. Le policier qui m'avait découvert avait retiré sa veste pour me la déposer sur les épaules. On m'avait conduite à l'hôpital pour m'examiner avant de m'offrir un chocolat chaud. Mais où était ma mère ? Je me souviens très bien avoir posé cette question plusieurs fois aux policiers durant les quelques heures suivantes. Pourtant... Ils ne me répondaient jamais. Au final, on me conduisit à l'orphelinat. De plus en plus angoissée par le silence de mort qui régnait chez les adultes qui m'entouraient, je tremblais. Que se passait-il ? Pourquoi ma mère n'était-elle pas venue me chercher... ? Il y avait cette tension dans l'air qui m'étouffait... Pourquoi ne me répondait-on pas ?! Maman... où était-elle... ? Je me sentais si seule... Un bon lit m'attendait à l'orphelinat. Tout le monde était étrangement gentil avec moi. Un peu trop, même. Dans leurs regards, quelque chose clochait... Et je n'était même pas en mesure de supporter ces regards insistants... empli de ... pitié.

Ce n'est que le lendemain qu'on m'annonça que mon père biologique avait battu à mort ma mère avant de mettre fin à ses jours. J'étais abattue, seule et si jeune... Je refusais de les croire... On m'avait enlevé. J'en étais sûre. Voilà pourquoi j'étais là. Et pourquoi ma mère n'était pas venue me chercher. Oui, c'est ça ! J'avais été arrachée aux bras de ma mère par de vils humains ! Mais peu à peu, la raison revenait. Maman n'aurait jamais pris tant de temps pour revenir. Alors même que je vidais toutes les larmes de mon corps en hurlant, appelant ma mère comme si elle m'entendait, plusieurs sentiments s'opposaient en mon être. Le dégoût de la vie, des hommes, des humains... De la colère aussi. Contre mon père. Contre ce policier qui m'avait arrachée à mon armoire. S'il avait pu me laisser crever... De toute façon qui se souciait de moi maintenant ? Certainement pas ces stupides humains et leur pitié qui crevait le coeur et me donnait envie de gerber.

Un jour cependant, alors que j'avais franchit les murs de l'orphelinat sous l'interdiction de Soeur Louise, je découvris le monde. Émerveillée, je me promenais de rues en rues, passant devant les petits marchés indépendants et les grandes multinationales. Parfois, je m'arrêtais devant une vitrine, alléchée par la vue de quelques friandises ou jouets. Les gens souriaient, se pressaient dans les magasins, les mains encombrées de sacs. Les enfants couraient ici et là, jouant à la balle ou se poursuivant en se faisant passer pour des vaillants chevaliers ou de sanguinaires combattants. Tournant la tête à gauche et à droite, je regardais le monde sous un autre angle. C'était comme si je voyais à travers les yeux d'un autre. Et c'est alors que je le vis. Azaël. Plus vieux de quelques années à peine, il était assis à même le sol, un chapeau retourné devant lui. Il jouait du violon et les passants s'arrêtaient pour l'écouter, impressionnés. Finalement, après lui avoir donner quelques pièces, ils s'éloignaient en souriant. Je m'approchai. Il était beau. C'était un hybride. Un inu, plus précisément. Ses courts cheveux de jais semblaient briller au soleil, comme si la musique qu'il produisait avait le pouvoir d'attirer l'attention de l'astre solaire. Ses oreilles remuaient parfois, comme pour mieux capter les sons que produisait son violon. Les yeux clos, un fin sourire accroché aux lèvres, il passait son archet sur les cordes de son instrument avec grâce et passion. J'étais captivée, envoûtée. La mélodie de son instrument semblait me transporter à des lieux de là. C'était comme si, sans user d'un seul mot, le jeune inu m'apprenait la beauté du monde. Je ne tardai pas à fermer lentement les yeux, et transportée par sa mélodie, je me mis à chanter. Cet air... Je le connaissais par coeur. Ma mère le chantait autrefois, de sa voix chaleureuse et aimante. Lorsque la mélodie se termina, j'ouvris les yeux. Azaël me regardait en souriant. « Quelle voix ! », me dit-il. « Oh ! Mais je manque à mon devoir ! Je m'appelle Azaël. Enchanté, jolie fleur à la voix d'ange . ~ »

C'est ainsi que j'ai rencontré mon premier amour. C'était un rebelle. Lui et son groupe se déplaçaient régulièrement pour échapper aux autorités. Ils gagnaient leur vie en mendiant et en vagabondant. Très vite, je succombais à son charme, et lui au mien. Il faut dire qu'il n'était pas comme les autres. Il m'apprit à voir la vie de manière optimiste et à espérer sans jamais arrêter. Très souvent, je sortais en douce de l'orphelinat pour aller le rejoindre. Son sourire, son regard... Tout chez lui me donnait envie de le prendre dans mes bras, de l'embrasser. Il me rendait heureuse. Malheureusement, ça ne dura pas. L’orphelinat m'avait dégoté un maître. Le soir où je l'appris, je l'annonçai à Azaël. J'étais si triste de ne pas pouvoir le revoir si souvent... Mais il me souriait, confiant. « Je viendrais te voir, mon amour. », m'avait-il dit. Ce soir-là, Azaël m'offrit un anneau. Dans celui-ci était gravé nos deux noms. Je relevai alors mon regard vers le sien. « Az... » , murmurai-je. « Aly... Je voulais te donner une preuve de mon amour depuis longtemps... Et j'ai économisé pour t'acheter ceci. Je t'aime, Alice. » Il glissa la bague à mon doigt et se pencha pour m'embrasser.

Le lendemain je fis la rencontre de mon maître. Un homme autoritaire au regard froid. Parfois, il m'arrivait de le surprendre à me fixer pensivement, à me détailler comme si j'étais un morceau de viande ambulant. Et un soir où il avait trop bu, il vint me rejoindre dans ma chambre et m'attacha au lit avant de me violer. Lorsqu'il me détacha enfin et retourna dans sa chambre, je me laissais rouler sur le sol froid en sanglotant. Il m'avait frapper pour me faire taire, en m'appelant sa putain d'hybride. Ma lèvre saignait et je me sentais sale. Il m'avait salit jusque dans mon être. Griffant le sol de mes ongles, je gémissais le nom d'Azaël, comme si en l'appelant, j'avais le pouvoir de l'amener à moi. Comme s'il pouvait me tirer loin de cet enfer, me laver de cet être immonde qui me rappelait tant ce père indigne. J'avais l'impression d'être ma pauvre de mère. Je craignais d'être tombée enceinte de cet ordure. Allais-je finir ma vie comme ma mère ? Allait-on un jour retrouver mon cadavre ensanglanté, puis mon enfant pleurant ma disparition dans une armoire ou une penderie de la demeure ? Une chance pour moi, je ne tombai pas enceinte.

Quand Azaël apprit ce que mon maître m'avait fait, il serra les poings si fort que ses jointures se blanchir. Je vis dans son regard une détresse et une colère immense. Je tentais de l'apaiser même si, de nous deux, j'étais la plus brisée. Le lendemain, Azaël était recherché pour meurtre. Il avait vengé mon honneur. Glissant un dernier baiser sur mes lèvres, caressant ma joue tendrement, il me fit une promesse. « Fuis, Alice. Le plus loin possible. Je reviendrais te chercher. Et nous serons réunis de nouveau, à jamais. » Je soupirai, incapable de refouler mes larmes. « Ne me laisse pas, Az... Je ne veux plus être seule... » Il me sourit tendrement et déposa un petit baiser sur mon front. « Je reviendrai. C'est promis. Tant que je vivrai, je me batterai pour toi, pour moi, pour nous. » ..... "

L'homme la dévisagea avec un regard compatissant, un peu mélancolique même. Alice lui sourit doucement, et plongea son regard dans le sien avec une froide détermination et un courage inébranlable.

" Et il reviendra. J'en suis sûre. "

•• IRL

Surnom : Pamy ~ Age : 18 ans ~ Sexe : Féminin ~ Parle nous un peu de toi ! : ROUSSE POWAAAAAAAAAA !!*O* Comment as-tu connu le forum ? : Hum... Je connais pleins de membres et staffeux ? '^' Présence ? (/7 j) : Le plus souvent possible ^^" Code du règlement : Spoiler: Autre chose ? : blabla

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Fiche entièrement crée par Hina Sweet de [Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien].

Dernière édition par Alice Black le Jeu 29 Nov - 12:19, édité 8 fois